Dans un écrin discret où le silence chante,
S’élève une villa, précieuse et charmante,
Oasis de paix dans un monde pressé,
Elle murmure au vent des secrets bien gardés.
Ses lignes, modernes comme un poème en verre,
Dansent avec la lumière, l’air, et la terre.
À peine franchi le seuil, l’âme s’élève,
Captive du marbre, des bois, et des rêves.
Deux cent quatre-vingt-quatre mètres d’élégance,
Où chaque espace respire l’opulence.
Les murs s’effacent sous la clarté immense,
Et la vie s’écoule avec douce aisance.
Au creux du sol, un monde parallèle :
Un cinéma intime, un temple corporel.
Là, les rires résonnent, les cœurs s’éveillent,
Quand l’effort et le film deviennent merveilles.
Dehors, l’eau s’épanche en cascade céleste,
Une piscine sans bord, sous le ciel en fête.
Les jours d’été s’étirent en caresses d’or,
Et les heures s’égarent sans remords.
Le salon s’ouvre, vaste cathédrale,
Où l’amitié s’invite, noble et joviale.
Les baies laissent entrer le bleu, le vert,
Le jardin répond d’un parfum sincère.
Dans la cuisine, la passion s’installe,
Entre l’acier brillant et les gestes loyaux.
C’est un théâtre où l’amour se mijote,
Et les mets chantent comme des notes.
Trois chambres comme des refuges d’étoiles,
Dont l’une, royale, s’habille de toiles
Douces et soyeuses, baignées de lumière,
Avec salle et dressing, promesses premières.
Ainsi vit cette villa, perle discrète,
Où chaque détail murmure une quête.
Un lieu de luxe, mais surtout de cœur,
Où l’on habite l’instant avec ferveur.